Cry me a river

Le dernier film que j'ai vu au cinéma, avec Chris Pine (Star Trek) et Denzel Washington. La bande annonce m'avait donné envie, même s'il s'est avéré que le montage laissait à prévoir un scénario un peu différent.

Pennsylvanie. Au matin, un train de marchandise quitte son dépôt, sans conducteur à son bord. Petit à petit sa vitesse augmente jusqu'à atteindre les 70miles par heure. Non seulement il constitue un danger pour les autres trains en circulation, mais aussi pour les populations locales car il transporte des matières dangereuses, et donc hautement inflammables. Nos deux héros, également techniciens de train, se lancent à la poursuite de ce train fou, afin d'empêcher qu'il ne déraille et de l'arrêter.

Un film d'action comme je les aime, bien rythmé, qui nous tient en haleine jusqu'à la fin. Le seul hic -pour moi- c'est la bande son, qui n'était pas assez rock, heavy, à mon goût. Sinon, c'était bien, drôle aussi, histoire que ce ne soit pas trop pesant.

"Unstoppable", vous le saurez d'entrée de jeu, est inspiré d'un fait divers réel. C'était en 2001, dans l'Ohio.

Après avoir laissé le blog à la dérive pendant presque un an, me voici de retour. Je vais commencer par vous parler de la série "The middle", dans laquelle joue Neil Flynn. Pour ceux qui ne le connaissent pas, c'est l'homme d'entretien dans la série hilarante "Scrubs". J'aimais bien son personnage, alors j'ai été intéressée de savoir ce que l'acteur est devenu.

Mike (Neil Flynn) travaille dans une carrière, il est marié et père de trois enfants -deux garçons, une fille- dans l'Indiana. Dès le début j'ai pensé à "Malcolm", en un peu différent tout de même, mais "The middle" n'est pas aussi intéressante. Je n'ai vraiment accroché qu'à partir de l'épisode 5, c'est vous dire à quel point je voulais y croire. Donc, passés les cinq premiers épisodes, la série devient un plus intéressante, et même drôle.

En résumé, je ne suis pas hyper enthousiasmée par cette nouvelle série, néanmoins elle me plaît suffisamment pour que j'ai envie de continuer à la regarder.

A 15h plutôt que d'aller en cours de "Mouvement moderne et style international" je suis allée faire mon shopping de Noël. Déjà n'ayant qu'une idée approximative de ce que je voulais, je ne savais pas trop où aller. Direction donc le centre commercial ("lets go to the mall, today"). J'hallucine toujours du nombre de gens que l'on peut y trouver, mais là en période de Noël c'est pire, surtout dans les boutiques dont les allées sont étroites et les gens ne s'excusent pas quand ils vous poussent de l'autre côté. Même si c'est pas un comportement rare, ça m'énerve toujours autant. Bref. Quelques achats plus tard (une bougie et des batons d'encens :/ direction le marché de Noël. J'avais dans l'espoir de trouver mes autres cadeaux. Et bien non! Décorations de Noël, stands de crêpes et autres à gogo (presque la moitié du marché je suis sure), et après je n'ai pas trouvé cela très intéressant. Moi qui espérait trouver un cadeau pour Satu, vous savez ma corres' finlandaise, c'est râté, je n'ai rien trouvé de typiquement français et quasiment rien de typiquement alsacien.
Les gens qui vantent le marché de Noël de Strasbourg, il se situe où ?

Pardon pour les fautes éventuelles d'orthographe.  Vous connaissez sans doute le spectacle de Gad Elmaleh L'autre c'est moi. Moi je l'adore. Si bien qu'il y a quelques répliques que j'ai retenues, faut dire aussi que je l'ai vu plusieurs fois (en dvd).
Pour ceux qui ne connaissent pas, l'ascenseur émotionnel c'est quand vous êtes très content et que tout de suite après vous êtes très déçu. En rentrant de mon partiel de scandinave (de 14 à 16h), à la fin duquel je n'arrivai plus à écrire ^^, je vois dans ma boîte aux lettres une enveloppe. Tout de suite je me dis "youpi c'est l'une de mes corres' qui m'a répondue". Je monte dans mon studio, accompli mon rituel habituel, puis attendant que le lait chauffe (pour mon cacao) je regarde l'enveloppe, pensant que je vais pouvoir m'en servir pour mettre en situation Private (cf. ici pour savoir de qui/quoi il s'agit). Au dos de l'enveloppe, je vois le nom de mon père. Trouvant cela bizarre, j'ouvre l'enveloppe, et quelle ne fut pas ma déception comprenant que ce n'est pas une jolie lettre de ma corres' mais une copie d'un avis d'imposition que j'avais demandé à mon père, mais je le lui avais demandé par mail. D'ailleurs il me l'avait envoyé par mail, j'ai pas comprit. Et en fait je ne veux même pas comprendre. A croire que je parle l'espéranto quand je demande à mon père de "m'envoyer par mail l'avis d'imposition pour l'année 2007" ; allez me dire où est l'ambiguité... avec lui je cherche même plus à comprendre. S'il était moins "tyrannique" ce serait bien. Mais Dieu n'existe pas. La fille qui m'a "emprunté" mes cours de scandinave de s'est même pas pointé aujourd'hui. Je sais que c'est méchant mais je me voyais bien lui dire "merci. C'est pas grave pour le retard, c'est pas comme si le partiel était aujourd'hui." et elle "Parce que c'est aujourd'hui". Bref, c'est quand même le genre de truc qui me reste en travers de la gorge.

Sinon, il fait froid, je suis fatiguée, ça va être dur de réviser pour mon partiel de jésuites, demain matin (la big méga joie) de 8h à 11h je suppose. Heureusement que mon prof a répondu à mon mail (trois jours après mais soit) en me donnant le numéro de la salle où on passera l'épreuve ; il ne doit pas trop avoir l'habitude de communiquer par mail avec les étudiants. En attendant de reprendre des forces, j'écoute le dernier Paradise Lost Faith divides us death unites us en ce moment, en dehors des cours, j'ai de la zic dans la tête ("Marty, j'ai dla zic dans la tête" Alex le lion, in Madagascar) alors quand je rentre, j'écoute les cds ^^

Bientôt les vacs !!

Hier soir (15h20 *gloups*), en passant devant ma boîte aux lettres j'ai jeté mon petit coup d'oeil habituel, histoire de voir si j'avais du courrier. Je vois un papier bien décoré ; serait-ce l'une de mes nouvelles correspondantes qui m'a répondue ? Que nenni. J'ouvre la boîte, et sors l'enveloppe, plus grande que ce que j'avais pensé. Aussitôt mon regard est attiré par le coin droit supérieur. "Suomi Finland" "Nokia". Toute joyeuse, c'est ma correspondante finlandaise Satu qui m'a envoyé le paquet. Toute impatiente, j'ouvre la trop belle enveloppe en me rendant au tram (les gens doivent me trouver bizarre).



Je prends soin pour l'ouvrir parce qu'elle est très jolie cette enveloppe ^^ Je passe ma main dedans, et en sors une sorte de petite coupelle en verre, décorée de motifs végétaux, voire floraux.



Je range tout cela dans mon sac, et arrive tranquillement à ma station de tram. Il n'arrive pas avant quelques minutes, j'ai le temps de m'asseoir. Je sors alors la lettre que ma corres' m'a envoyée avec : un cadeau pour Noël. Je pensais à mon anniv' vu que ça tombe presqu'en même temps. C'est pas plus mal que ce soit pour Noël, au moins je suis rassurée de ne pas avoir oublié son anniv' à elle. Du coup, j'irai au marché de Noël, essayer de lui trouver un petit quelque chose à lui envoyer en retour (en espérant trouver quelque chose qui fasse français, voire alsacien... en évitant la traditionnelle cigogne ^^).

Petite vue d'ensemble :

donc l'enveloppe, contenant la petite coupelle, une enveloppe contenant sa lettre, et une carte de Noël : "Hyvää Joulua" sur le devant je crois que c'est "Joyeux Noël" et au dos cette légende s'accompagne de "ja Onnellista Uutta Vuotta" je suppose que c'est "et une bonne année".

Voilà, voilà, toute contente de ce paquet. Merci Satu. Kiitos.

p.s : un article à guetter sur mon blog de créa : ici

Dieu n'existe pas. Pourtant, j'ai voulu y croire. J'y ai cru. Mais la réalité m'a déçue.
En résumé : je suis un cours de littérature et civilisation scandinave, plus d'un mois après le début des cours, je les passe à une fille qui vient d'arriver pour qu'elle les recopies/photocopies. Trois ou quatre semaines après, cette même fille - qui n'avait pas refait surface depuis - se repointe donc en cours et demande à me le garder encore, soi-disant qu'elle n'a pas eu le temps de les copier. Comme une conne, je lui dis oui bon tu peux les garder. Les deux semaines suivantes c'est moi qui ne suit pas allée à ce cours, et quand j'y suis retournée et bien aucune trace de la bip! Le partiel étant pour la semaine prochaine, avoir les cours devient quand même urgent. Avec de la chance, elle sera là aujourd'hui, avec mes cours. Et bien que nenni, elle n'était pas là. Heureusement que j'avais prévu le coup, et que Laura m'a passée ses cours pour que je les photocopies, avec sa carte aussi.
Mais bon, la moindre des choses c'est quand même de se dépêcher pour rendre les cours à leur propriétaire, perso c'est ce que je fais.
Qu'on ne vienne plus me demander mes cours (sauf les gens de ma promo, et ceux dont j'ai les coordonnées) !

Sinon, dans un autre esprit, les gens qui se garent sur les passages piétons, devant ou dessus. Si ce n'est que cela passe encore, de limite vraiment, mais passe encore. En revanche quand on commence à traverser et que le mec dans sa voiture n'arrête pas sa manoeuvre et que vous vous retrouvez au milieu de la route, je trouve ça... enfin voilà quoi... en plus avec sa grosse bagnole, moi je peux me faire écraser tranquille, c'est pas grave.

Voilà, demain je commence à 8h ça va être dur, mais jeudi je commence à 16h youhou! ^^ Vendredi on a une petite réunion de Noël au département de scandinave, et j'ai pas envie d'y aller seule, sachant que Laura m'a dit qu'elle ne viendra pas, je vais tenter de trouver quelqu'un de ma promo pour venir avec. Ou un blond. Ou un brun. Mdr. 

"Alcool" et "La Belle Rouge" les deux derniers romans écris par Poppy Z. Brite. J'ai fini le premier avant le 31octobre (ça devait être le 29 je crois^^) et le second c'était jeudi soir. "La Belle Rouge" est la suite d'"Alcool", dont la fin m'a un peu déçue pour être répétitive (je parle de "La belle rouge"), avec parfois l'impression de passages n'ayant pas grand chose en rapport avec l'histoire. A part ça, une lecture plaisante, agréable, parfois drôle. Quant à "Alcool" rien à redire, cependant le thème donne faim et surtout envie d'innover.

L'histoire : John Rickey et Garry Stubbs, plus connus sous les appellations Rickey et G-man, sont deux amis cuisiniers qui décident un jour d'ouvrir leur propre restaurant qui proposera des plats contenant tous de l'alcool (comme le titre l'indique), aidés en cela par Lenny Duvetau un riche cuisinier.
Pour La Belle Rouge : Le succès de leur restaurant conduit Rickey à accepter une semaine de consulting dans un restaurant texan, ce qui va lui causer quelques soucis.

Histoire très vite résumée mais je pense qu'avec plus de détails je vous aurai révélé l'intrigue de ces romans. De toute façon, sur la quatrième de couverture (je crois que c'est le nom) le résumé n'est pas beaucoup plus long.

Deux semaines pour lire chacun des livres, en accentuant sur la fin tellement cela devient passionant même si on se doute déjà de ce qui va se passer. Je me suis aussi attachée aux personnages de Rickey et G-man, et surtout à leur relation.

A défaut d'avoir posté ce message en fin de semaine dernière, je me rattrape cette semaine (à suivre : critique de livre, et de film). Bon, jeudi dernier, après mon cours sur le "paysage au XIXe siècle" je me suis rendue à l'arrêt de tram, dépassant au passage des gens, qui m'ont rattrapée à ce fameux arrêt de tram appelé "Gallia" avec l'accent comme si vous étiez en train de bailler. Et bien, parmi ces quelques personnes, quelques étudiants, il y en a un qui me faisait penser à Jared Leto quand il jouait dans la série "Angela quinze ans".

Le lendemain matin, dans le tram qui allait à la gare, est monté un jeune homme (plâtrier peut-être au vu de l'état de sa veste et de ses chaussures) qui ressemblait, c'était un peu moins flagrant que pour le "sosie" de Jared Leto, à Matt Hardy, le catcheur de la WWE (sauf s'il l'a quittée, ça fait un moment que je ne suis plus les actualités de la fédération et de ses (ex)-membres). Matt à droite sur la photo (la flemme de faire un découpage). A noter que le monsieur du tram était moins imposant.

Et le meilleur pour la fin ^^ Un monsieur d'une trentaine d'années (genre entre 27 et 32ans, sachant que j'ai une estimation des âges approximative), dans le train, qui avait un air de Russel Crowe !! Alors là, j'ai rien à ajouter, je vous laisse voir par vous-même si vous ne connaissez pas l'acteur néo-zélandais.

C'est tout pour le moment. En fait, je me demandais si je suis la seule à qui ça "arrive" parce que j'ai tendance à associer des gens à d'autres gens (souvent des gens ordinnaires, comme vous et moi, en ce moment des étudiants de ma promo de Metz, et aussi de la fac de Metz). N'hésitez pas à laisser votre avis ;)

"I have some good news and I have some bad news" Shawn Micheal. Des fois j'ai des phrases comme ça, qui ne quitte pas mon cerveau pendant un moment, celle-ci remonte quand même à ma période où j'aimai regarder RAW tous les jeudis soirs sur RTL9, tard bien sûr, mais j'ai fini par me lasser, notamment par les horaires. En plus, je viens juste d'apprendre que la fédération passera à Strasbourg en avril, mais bon je préfère mettre mon argent dans d'autres spectacles.

En fait, je voulais juste parler que j'ai l'impression de ne pas avoir eu cours avec ma promo la semaine dernière, notamment parce que j'en ai zappé deux (mais quand on est insomniaque et que pour une fois qu'on dort, on ne va pas se lever pour deux heures de cours, surtout en cas de réveil tardif), et que mercredi c'était férié. Cela dit, je me sens seule pendant les cours, à part de rare fois où Anne arrive avant ses amies, parce qu'on ne se connaît pas encore assez pour que je m'impose, bin oui je suis timide quand même ; d'ailleurs c'était ma motivation pour me lever vendredi, mais bref. En plus il paraît que les deux cours que j'ai manqué les profs ne notent pas très bien, alors bon. D'un autre côté, Anne m'a dit que les UE ne se compensent pas entre elles, du coup je me demande à quoi ça sert d'avoir des options à part nous donner des heures de cours supplémentaires. Cela dit demain je vais, enfin!, m'inscrire pédagogiquement et j'espère ne pas oublier de leur poser la question, parce qu'à la fac ils aiment bien nous donner des versions différentes (je précise qu'Anne, tout comme moi n'est pas de cette fac).

J'ai reçu mes entrées - gratuites - pour le musée des Beaux-Arts de Nancy pour l'exposition "Beautés monstres" que je dois voir dans le cadre de mon cours "Monstres, phénomènes et créatures fantastique". J'ai eu le droit à un petit "guide" de l'expo et six marques-page identiques, ainsi que trois affiches du musée notamment l'affiche de l'expo. C'est vrai que le thème est original, pas comme le paysage au XIXe siècle avec une prof qui parle de tout sauf du tableau, et les oeuvres ne sont pas toujours des paysages (à mon sens du moins), alors bon je me vois bien faire ma groupie auprès du prof par rapport à l'expo, mais d'un autre côté ça fait lèche pompes ^^ Je pense que j'irai voir cette expo, finalement et enfin, le 26 décembre.

Je ne suis pas trop sure que c'est ce que je voulais vraiment écrire mais tant pis ^^ Sinon, vous parler du site actuanimaux où il vous suffit de simplement cliquer sur les différentes causes pour apporter votre contribution ; si vous connaissez clicanimaux, le fonctionnement est semblable. A vos clics ! c'est important (et pour la bonne cause).

Le fils du dieu de l'orage d'Arto Paasilinna, célèbre auteur finlandais. J'avais reçu le livre dans le cadre d'un swap, le swap pays sur Les Fées Tisseuses, mais je n'ai commencé à le lire qu'en septembre, après mon "installation" à Strasbourg. Je l'ai lu en trois semaines, peut-être moins, tellement c'est agréable à lire, et bien écrit, avec des passages assez drôles.
Pourquoi je n'en ai pas parlé plus tôt ? Tout simplement parce que je n'avais pas internet (merci les gens de Orange/France Télécom, grâce à qui j'ai attendu pendant près de deux mois avant de pouvoir me connecter sur le web).



L'histoire ? Et bien, les dieux finlandais se retrouvent devant le constat que les Finlandais ne croient plus en eux, et ils envoient l'un des leurs en Finlande afin de découvrir pourquoi la foi (en ces dieux) est quasi inexistante, mais aussi  tenter de reconvertir les Finlandais.

Du même auteur, j'ai aussi lu Le cantique de l'apocalypse joyeuse mais c'était il y a un an, pendant l'été, tout simplement parce que la couverture me faisait de l'oeil, et que l'auteur est Finlandais. On peut dire que ce livre est de veine plutôt écolo, au vu du sujet qu'il traite, aboutissant sur la "prophétie de 2012" (non, je n'irai pas voir le film au cinéma^^). Pour autant, l'écriture est "légère", et comme je le disais précédemment c'est vraiment agréable à lire, captivant, y tout.